1 entes versions du roman, plus je me sentais gêné, mal à l’aise . Ce Tristan et cette Iseut qui restent indifférents pendant leur prem

2 ît dans cette œuvre, et en même temps il s’y sent mal à l’aise  : tout est bien vu, et de quels yeux impitoyables aux illusions de la

3 Appartements. — Les grandes maisons les mettent mal à l’aise , parce qu’ils pensent tout de suite à l’usage physique, non point à c

4 rsonne n’en veut. Les grandes maisons les mettent mal à l’aise , parce qu’ils pensent tout de suite à leur usage physique, non point

5 rsonne n’en veut. Les grandes maisons les mettent mal à l’aise , parce qu’ils pensent tout de suite à leur usage physique, non point

6 ant avec lui les mêmes paroles, se sentirait fort mal à l’aise  : il se demanderait quelle peur les pousse, quelle grande calamité pu

7 s l’Amérique, parce que tout homme qui se sentait mal à l’aise en Europe espérait trouver la liberté sur l’autre bord ; cet élan éta

8 s donner des textes ! » Me voici mis à l’aise, et mal à l’aise aussi. Un peu plus tard, il me confie, rêveur : « Comme il est diffic